17 mars 2015
je survis
Je vais maintenant bien mieux, n’étaient quelques tiraillements qui persistent, et dont je redoute qu’ils ne soient durablement installés dans mon paysage somatique. Mais au moins je me tiens droit sans difficulté et j’ai l’air à peu près normal, ce qui est essentiel. J’ai arrêté les anti-inflammatoires dès samedi. Dans les derniers jours de prise ils m’avaient assez bien disposé, de sorte que ce week-end j’ai trouvé l’énergie de tourner quelques vis, de ramasser quelques branches, et de scier quelques bûches. Dans un moment d’euphorie, j’ai même écrit quelques courriers. Mais je me sens plus calme. La vie reprend son cours habituel.
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