18 avril 2008
Aimer Césaire ou pas
La disparition d’Aimé Césaire me rappelle le souvenir de la seule fois où j’ai essayé de lire ses œuvres. C’était il y a un peu plus de dix ans et je rouvre aujourd’hui la Lettre documentaire n° 220, de janvier 1997, dans laquelle j’avais brièvement consigné mes impressions. La poésie de ce génie m’avait paru «vraiment chiatique, facile et boursouflée». Après une telle expérience, je comprends pourquoi je ne suis jamais retourné y voir. Le président de la République en fait paraît-il grand cas, mais comme j’ai déjà remarqué plusieurs fois que nous n’avions pas les mêmes goûts, ce nouveau point de désaccord ne me surprend pas.
Publicité
Publicité
Commentaires
C
P
C