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Journal documentaire
19 avril 2008

Sémiotique du Schpountz

L’autre soir j’ai visionné Le Schpountz, excellente œuvre de Pagnol, où l’on a parmi cent autres la joie d’entendre l’exquis Fernandel prononcer Olivode le nom de Hollywood, ou évoquer les difficultés qui lui sont «suscitées par une influence secrète et subtile».
J’ai remarqué dans la première scène ce propos de l’oncle (Charpin), «Voilà dix francs pour tes menus plaisirs. N’écoute pas les sarcasmes de l’Inutile...», qui me rappelait le souvenir de certain chroniqueur.
Je me demande pourquoi le cinéaste nous laisse entrevoir brièvement, sur le mur latéral de l’épicerie, côté rue, le graffiti à demi effacé d’une grande faucille avec marteau. Quant aux affiches pour la «bière Marx», visibles dans certaines scènes, est-ce un autre symbole communiste, ou la marque existait-elle réellement et s’agit-il juste d’un sponsor ?

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Commentaires
P
Ailleurs on peut lire ceci : "...quand il pouvait encore me piffer."<br /> Il me semblait que "piffer" ne supportait que la tournure négative : avoir qq dans le pif, c'est ne plus le piffer
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