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Journal documentaire
20 décembre 2005

Quelques films vus ces derniers mois:- Ascenseur

Quelques films vus ces derniers mois:
- Ascenseur pour l'échafaud, de Louis Malle (1957). Malgré de bonnes idées de suspense (l'ascenseur bloqué, la voiture volée etc) l'histoire m'a paru globalement sans grand intérêt, et la musique fameuse de Miles Davis ne m'excite pas. Restaient quelques belles vues en noir et blanc d'une France disparue. D.
- Jo, de Jean Girault (1971). J'ai honte, mais ce de Funès en plein délire frénétique, brillamment secondé par des Galabru et des Blier, m'a bien fait rire. B.
- Le pianiste, de Roman Polanski (2001). On ne peut pas dire que le thème général (la persécution des Juifs par les nazis) brille par son originalité, mais Polanski le traite assez originalement, sans manichéisme excessif. Il reste un excellent cinéaste et contrairement à un Wenders, par exemple, il vieillit sans diluer son art dans des productions vaseuses. B.
- Plein soleil, de René Clément (1960). Belles images, mais l'histoire ne m'intéressait pas beaucoup, et Delon m'agace. D.
- Mean streets, de Martin Scorcese (1973). Pas toujours folichon, mais intéressant, le genre de film que je peux regarder plusieurs fois. Keitel et de Niro sont excellents. B.
- Une époque formidable, de Gérard Jugnot (1991). Je trouve que Jugnot est un comédien de première qualité, mais cette histoire me paraissait d'une démagogie insupportable. Faut-il nécessairement faire étalage de vulgarité pour dépeindre la pauvreté? Il y a une scène involontairement comique où le personnage joué par ce cabotin de Richard Bohringer agresse une journaliste en lui demandant combien elle est payée pour venir filmer des pauvres et l'on ne peut s'empêcher de penser que même si les journalistes de télé sont bien payés, leurs revenus sont sans doute incomparablement modestes par rapport aux sommes que doit palper Bohringer pour faire le beau. D.
- La plage, de D Boyle (1999). Délire néo-baba juvénile friqué. E.
- Firelight, le lien secret, de W Nicholson (1997). La belle Sophie Marceau se fait mettre en cloque par un aristocrate qui ressemble à Michel Platini (si c'est possible!). L'histoire est assez nase mais les décors sont superbes. C.

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Commentaires
T
Ah non, je suis un inconditionnel de Delon.<br /> Pour Joe, il ne faut pas avoir honte. De Funés est un génie.
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