13 janvier 2006
Et voilà que huit jours après, la télé nous
Et voilà que huit jours après, la télé nous proposait hier soir un autre chef d'oeuvre d'Alfred Hitchcock, cette fois-ci Sueurs froides (1958). Pas de surprise, toujours le même kitsch abracadabrant.
Il paraît que le maître en personne fait une courte apparition dans chacun de ses films, mais je ne l'ai vu dans aucun de ces deux. Il faut dire que de temps en temps je roupillais un peu, j'ai pu le rater.
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