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Journal documentaire
28 avril 2018

coccinelles

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Lectures naturalistes (1/7). La seule de ces sept brochures à n'être pas publiée par les CPN (clubs Connaître et Protéger la Nature) eux-mêmes, mais par leurs voisins transfrontaliers de la très sérieuse société royale des Cercles des Naturalistes de Belgique, est celle sur Les coccinelles (2015, 32 pages). L'on y présente assez clairement les 34 espèces les plus communes, qui varient par la couleur de fond des élytres (rouge, jaune, orange, brun ou noir) et le nombre et la couleur des points (de zéro à 22, noirs, jaunes, rouges ou pâles). Le premier enseignement que l'on tire en feuilletant cet ouvrage, et le seul que je risque d'en retenir, est que la question des coccinelles n'est pas simple. Non seulement les espèces sont nombreuses (l'éventail présenté ici n'est pas exhaustif) mais quelques unes, quasi monochromes, n'ont guère l'aspect habituel de coccinelles, tandis qu'au contraire certains coléoptères d'autres familles ont tout l'air de coccinelles mais n'en sont pas, et ne s'en distinguent que par de ténues différences morphologiques qui ne sautent pas aux yeux du profane. A cela s'ajoute que certaines espèces de coccinelles ont un aspect si variable d'un individu à l'autre, que l'on jugerait d'abord qu'il s'agit d'espèces différentes (ainsi la Coccinelle dite asiatique, Harmonia axyridis, qui peut être à fond rouge ou noir, avec zéro, deux, quatre, ou plus encore de taches). Mais bon, c'est déjà une connaissance, que d'avoir un aperçu de la complexité d'un domaine.

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Commentaires
P
Il paraît qu'on les appelle aussi les cherche-midi.
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C
En tout cas, c'est actuellement la saison des amours pour les gendarmes (aussi appelés pyrrhocores).
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