27 octobre 2016
jungle
Si des migrants ont foutu le feu à leurs taudis en quittant le bidonville de Calais, c’est, selon la préfète du Pas de Calais, en raison d’une «tradition de la population migrante de détruire leur habitat avant de partir». J’imagine que cette information ethnologique est particulièrement rassurante pour les communes qui vont devoir accueillir les loustics.
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