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Journal documentaire
10 janvier 2015

en résumé

Le problème de la liberté d'expression (d'opinion) est bien exposé dans la phrase attribuée à Voltaire :

«Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.»

J'y souscris (avec toutefois une réserve prudente sur «jusqu'à la mort»…).

Donc : je soutiens le droit de Charlie-Hebdo à exprimer ses opinions (y compris sous forme de dessins ou caricatures plus ou moins injurieux).

Mais : cela ne m'oblige en rien à partager ces opinions (je ne suis pas «Charlie») et je conserve en retour mon droit à dire ce que j'en pense.

(Remarque annexe : je ne suis pas sûr que «Charlie» et ses amis seraient prêts à se battre pour mon droit à exprimer les miennes, d'opinions.)

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Commentaires
M
Excusez-moi Philippe d'avoir mal lu la signature ; Damien, la formule à mon avis est une allusion aux premiers chrétiens, dont la foi était mise à l'épreuve des lions, dans l'arène.
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D
Je n'ai rien compris non plus apparemment ! La deuxième intervention est plus obscure encore, mais du moment que Mathieu se comprend lui-même, c'est ce qui compte.
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P
Mais je n'ai rien nuancé du tout, Mathieu : c'est un certain Damien de Sable, qui vous a répondu. Achetez des lunettes.
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M
Soit ; vu que vous aviez nuancé mon propos en introduisant des termes n'y figurant pas, je ne vais pas vous expliquer ce que je n'ai pas dit, Ph (puisque vous semblez préférer).
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P
Pour tout vous dire, Provansal, non. Je n'ai rien compris à votre première intervention, ni à la seconde.
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