11 décembre 2012
un souvenir commercial
Il y a longtemps de cela, la première fois où je m'étais enhardi à charger une caisse de bouquins sur mon porte-bagage, pour aller les vendre à la sortie d'une cantine universitaire, il y avait dans le lot un livre de poche sur le cinéma italien, sujet assez populaire alors, mais écrit en italien, ce qui rendait la marchandise très improbable, et je me disais que celui-là serait le moins facile à vendre. Or ce fut précisément l'un des deux livres achetés par mon premier client.
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