Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Journal documentaire
28 décembre 2010

Ressentences

719


A la guerre, malin et demi.

A père avare, chose due.

Abondance de biens, il y a de l’espoir.

Aide-toi, ne te découvre pas d’un fil.

Après la pluie, le silence est d’or.

Au royaume des aveugles, tous les chats sont gris.

Aux grands maux, le ciel t’aidera.

Bien mal acquis n’a point d’oreilles.

Bon sang n’amasse pas mousse.

Chacun pour soi en vaut deux.

Charité bien ordonnée ne nuit pas.

Chassez le naturel, pendant qu’il est chaud.

Chat échaudé ne saurait mentir.

Chose promise est toujours la meilleure.

Deux précautions font les bons amis.

En avril, on mange des merles.

Faute avouée, loin du cœur.

Faute de grives, la caravane passe.

Honni soit qui se moque de la charité.

Il faut battre le fer comme à la guerre.

Jeu de mains châtie bien.

L’habit ne fait pas le printemps.

L’homme est un loup qui finit bien.

La critique est aisée à ceux qui se lèvent tôt.

La nuit, il y a de l’espoir.

La parole est d’argent, mais l’art est difficile.

La raison du plus fort fait le bonheur des autres.

Le malheur des uns n’a point d’oreilles.

Les absents font les bons amis.

Les bons comptes ne font pas des chats.

Les chiens aboient, les écrits restent.

Les jours se suivent, la caravane passe.

Les paroles s’envolent, les souris dansent.

Loin des yeux, fils prodigue.

Nul n’est prophète sans casser des œufs.

Pas de nouvelles, loin du cœur.

Petit à petit, on mange des merles.

Pierre qui roule, perd sa place.

Quand le chat n’est pas là, l’oiseau fait son nid.

Quand le vin est tiré, il y a de l’espoir.

Qui aime bien ne nuit pas.

Qui ne dit mot ne saurait mentir.

Qui ne risque rien vole un bœuf.

Qui paie ses dettes ne nuit pas.

Qui peut le plus châtie bien.

Qui se ressemble consent.

Qui sème le vent l’accuse de la rage.

Qui va à la chasse fait le bonheur des autres.

Qui veut noyer son chien dimanche pleurera.

Qui vole un œuf s’enrichit.

Rira bien qui mal y pense.

Tant va la cruche à l’eau qu’on devient forgeron.

Tel qui rit vendredi, il revient au galop.

Tous les chemins sont dans la nature.

Un homme averti ne fait pas le moine.

Une hirondelle mal étreint.

Ventre affamé commence par soi-même.

Publicité
Publicité
Commentaires
K
Ressentence
Répondre
P
Merci, Julien.
Répondre
J
C’est, dans l’ensemble, admirablement réussi.
Répondre
Journal documentaire
Publicité
Journal documentaire
Archives
Publicité