6 janvier 2009
Fabre
Je ne connais guère que de son excellente réputation le grand Jean-Henri Fabre (1823-1915), dont je n’ai dû lire que quelques chapitres sur les insectes. J’apprends par hasard qu’il s’occupait à planter des arbres, ce qui me le rend plus proche, même si je suppose qu’il s’y prenait plus sérieusement que moi. Je tiens ce détail de la préface d’une plaquette de l’Atelier du Gué, que l’on m’a offerte, L’air, nécessaire à la vie. C’est le texte probable d’une conférence, estime le préfacier américain, qui a acheté le manuscrit. En tout cas, une belle leçon.
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