Le cinéma de A à E

Films vus en novembre :
d’Otar Iosseliani, Les favoris de la lune (1984). Le titre est une expression poétique désignant les voleurs, êtres auxquels je ne trouve aucune poésie, mais ce film n'en manque pourtant pas. C.
Du même, Et la lumière fut (1989). Des négrillonnades pas sans charme, mais pas non plus passionnantes. D.
De Chris Nahon, L’empire des loups (2004). Pas supporté plus de cinq minutes, j’étais peut-être pas d’humeur. E.
De Pascal Thomas, Mon petit doigt m’a dit (2005). Pas pu tenir plus de cinq minutes, j’étais peut-être de mauvais poil. E.
De Stanley Kubrick, Lolita (1962). Visible mais longuet, dans les deux heures et demie. C.
Du même, Le baiser du tueur (1955), pas mal mais pas terrible, présente l'avantage de la brièveté (1 h 05). D.

Comments

[blozotou]

"De Stanley Kubrick, Lolita (1962). Visible mais longuet,"

Vous êtes euphémique,
ou indulgent.

[cathy]

voilà que je tape mon nom de famille sur la barre d'outil de google et que j'y trouve ... un cousin ! cinéphile qui plus est, quoique irrité quelquefois, ce sont les "cinq premières minutes"...
J'envoie un sourire ensoleillé, ce matin est un matin frais et lumineux, marché de Noël dans le village, foire aux livres.
Un petit bisou quand même, et peut-être à bientôt ?
cathy